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Liam Broady (dans le top 100 pour la première fois à 29 ans) : « Merci à mon frère d’avoir quitté son travail quand je le lui ai demandé l’année dernière et d’avoir voyagé avec moi sans relâche »

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Après des années à voyager à travers le monde pour disputer prin­ci­pa­le­ment des tour­nois Challengers dans le but d’in­té­grer le fameux cap des 100 premières places mondiales, Liam Broady, 29 ans, est enfin arrivé à ses fins suite à sa finale disputée et perdue (face au Français Constant Lestienne) à Saint‐Tropez. 

Le Britannique, classé cette semaine au 93e rang mondial, a tenu dans un long et très beau message publié sur son compte Instagram, à remer­cier tous ceux qui avaient contribué à cet accom­plis­se­ment, dont son frère, Calum, qui a quitté son travail pour l’ac­com­pa­gner sur les tournois. 

« Je n’en ai jamais fait, mais je me suis dit qu’il fallait que je le fasse, car je suis très ému d’être entré dans le top 100 pour la première fois. Merci à mon frère Calum d’avoir quitté son travail quand je le lui ai demandé l’année dernière et d’avoir voyagé avec moi sans relâche, en veillant à ce que je donne toujours le meilleur de moi‐même. Merci à mon entraî­neur Dave, il est diffi­cile de sous‐estimer les sacri­fices que tu as faits pour moi et les hauts et les bas que nous avons vécus ensemble au cours de la dernière décennie. Merci à mon coach mental Phil pour le travail de chan­ge­ment de vie que nous avons fait ensemble sur et en dehors du terrain. Merci à ma petite amie Eden d’avoir cru en moi en tant que personne, de m’avoir aidé à faire les sacri­fices néces­saires pour en arriver là et de ne pas m’avoir fait la tête parce que je ne prenais pas de vacances ! Merci à mon entraî­neur physique et ami Kieron d’avoir été ma caisse de réso­nance et de m’avoir donné les outils néces­saires pour riva­liser avec n’im­porte qui. Merci à mes parents d’avoir fait de moi ce que je suis, de m’avoir donné de la force et de m’avoir appris la vie. Merci à ma ville, Greater Manchester, et à mon village, Stockport, d’avoir fait naître en moi un senti­ment d’amour et de fierté qui me pousse à repré­senter au mieux les philo­so­phies et les gens de mon pays d’ori­gine. Enfin, merci à vous. Pour tout le soutien, les likes, les messages posi­tifs et les rires au fil des ans qui m’ont soutenue jusqu’à présent. C’est une belle fin de chapitre, mais nous allons main­te­nant nous atteler à la rédac­tion du reste du livre. Je vous remercie. »