« Parfois, j’ai l’impression d’être un esclave du tennis et je me demande si j’ai vraiment envie de continuer à vivre avec cette pression », avoue Carlos Alcaraz dans le documentaire qui lui est consacré sur Netflix.
Si Novak Djokovic a trouvé ce mot trop fort, le double lauréate en Grand Chelem, Garbine Muguruza, a utilisé le même terme.
« Pour atteindre les chiffres de Rafa, il faut être un esclave. C’est très difficile d’atteindre ce niveau sans se sentir esclave de tout ça. Ce désir d’être le meilleur est extrêmement difficile à entretenir. À la fin, tu n’as plus de vie. »
Publié le samedi 26 avril 2025 à 12:17