Rafael Nadal doit avoir un sentiment étrange en revenant à Monte‐Carlo, cette année. Habitué à y être le maître des lieux et tenant du titre, il n’est aujourd’hui que le finaliste sortant. En conférence de presse, il se rappelle de cette finale, il y a un an, qui l’avait vu concéder l’un de ses titres les plus emblématiques.
« Pour chacun, il y a un début et il y a une fin. L’année dernière, il (Novak Djokovic) avait bien joué (NDLR : Rafa s’était incliné 6–2 7–6(1)). Dans le premier set, il avait même été incroyable. Il avait gagné beaucoup de rallies, de points très difficiles. Dans le deuxième, je n’étais pas mal placé mais je n’ai pas su en profiter. Vous savez, je joue contre l’un des meilleurs joueurs de l’histoire. Dans ces conditions, vous pouvez gagner… comme vous pouvez perdre. Mais chaque année est différente. La seule chose que je sais, c’est que pour avoir un chance de bien figurer dans ce tournoi, je dois respecter à 100% chacun de mes adversaires. Jouer avec la bonne motivation, avec la bonne humilité. Chaque point est important. »
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Publié le lundi 14 avril 2014 à 13:15