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Pospisil et l’effet Federer

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Vasek Pospisil vit une saison de « folie ». En une année, il a presque tout vu : l’épopée en Coupe Davis, la percée dans un tableau d’un grand tournoi (NDRL : Demi‐finaliste à Montréal), la montée au clas­se­ment et le privi­lège de jouer son idole comme il l’ex­pli­quait après sa défaite en trois sets 6–3, 6–7 (3), 7–5 face à Roger Federer : » « Ce n’est pas facile d’af­fronter quel­qu’un que tu idolâtres depuis ton enfance, a déclaré Pospisil. Tu veux l’emporter, mais tu lui voues beau­coup de respect. C’est diffi­cile d’être compé­titif quand tu voues trop de respect à ton adver­saire. Je devais me contrôler moi‐même. Après je me suis calmé un peu au deuxième set et j’ai pu augmenter mon niveau de jeu, même si au final Roger est un cham­pion et il a effectué plusieurs coups sensa­tion­nels lors­qu’il en avait besoin. Cela a fait la diffé­rence. Il a bien joué aux moments oppor­tuns ». Grâce à cette demi‐finale à Bâle, le Canadien va pointer à la 32e place du clas­se­ment, une superbe perfor­mance puis­qu’il a démarré la saison au delà de la 100ème place. On rappelle que le coach de Vasek est Frédéric Fontang.

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