Comme l’a expliqué avec ses mots, Novak Djokovic, c’est dans ce type de défaite que l’on apprend le plus pour construire les succès du futur.
Dépité, triste, Stefanos avait le regard vide mais il est clair que s’il garde la même motivation, la même envie, il pourra prochainement soulever la Coupe des Mousquetaires.
Son coup droit giclant, son physique, la palette de ses coups, ont confirmé qu’il était un grand joueur sur terre battue comme sur les autres surfaces.
Mais sur l’ocre, la concurrence est moins rude, car la terre demande des efforts que tous les joueurs ne sont pas prêts à accepter.
Or, Tsitsipas est un travailleur, en plus d’être un « mec » en or.
Un champion moderne, ouvert vers le monde, un enfant, aussi, celui de tout un pays.
Tout cela devrait lui permettre de ne pas lâcher l’idée, de se reconstruire et de repartir au combat, peut‐être déjà à Wimbledon où son jeu offensif peut faire des dégâts.
Publié le lundi 14 juin 2021 à 10:44