Ambassadeur du premier tournoi sur le circuit Challenger organisé au Rwanda, Yannick Noah a répondu à la question suivante de L’Equipe : « Le tennis reste‐t‐il toujours un sport de riches ? »
« C’est cher. On le voit bien avec mon association Fête le Mur. Louer un court a un coût, les balles ont un coût, les raquettes, les cordages… Pour quelqu’un qui gagne 100 euros par mois, comme ici au Rwanda, c’est énorme. En France, c’est plus accessible, mais dans les quartiers ça reste cher », a constaté le vainqueur de Roland‐Garros 1983.
Publié le mercredi 13 mars 2024 à 16:11