Interrogé sur le fait que la Coupe Davis était quoi que l’on dise délaissée, et que l’ITF tardait à parvenir à faire des réformes, Yannick Noah a eu cette analyse : « On ne peut nier le fait que les meilleurs ne sont pas là ! Mais que faire ? J’ai suivi les débats sur l’argent, les points, le calendrier. Je dirai que tant que les meilleurs ne seront pas d’accord sur ce qu’il faut faire, il faudra se contenter de jouer avec ceux qui veulent bien y participer. A mon époque, ce n’était pas le cas, et je n’ai pas la recette miracle pur changer cette situation »
Publié le mardi 5 septembre 2017 à 13:22