En conférence de presse, Gilles Simon a expliqué qu’il avait la sensation de tenir son adversaire, Andy Murray :
« J’avais le sentiment de l’avoir amené là où je voulais. À la fin du troisième, il se passe beaucoup de choses en très peu de temps. À un moment je l’ai aussi trop regardé quand il se touchait partout. J’ai juste envoyé à droite et à gauche, alors que je sais qu’il peut jouer huit heures. J’aurais du être plus agressif, en mettre un petit peu plus à cet instant. Face à un joueur comme lui, si tu n’es pas au maximum de ce que tu dois faire, ça change vite. Je n’ai pas su faire deux sets zéro, en sachant aussi, que le match n’était pas encore fini. Ensuite, la réussite m’a échappé jusqu’à la fin. »
De votre envoyé spécial à Londres
Publié le dimanche 19 juillet 2015 à 19:15