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« Simplement magnifique »

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Titulaires, blessés, rempla­çant, capi­taine… Ils sont tous venus en confé­rence de presse. Tout juste sortis de la fête des vestiaires, les Bleus se sont tour à tour livrés sur leurs émotions.

Jo‐Wilfried Tsonga : « Je suis juste heureux. C’est une super aven­ture à vivre, j’en profite a fond, c’est juste extra­or­di­naire ! Depuis tout petit, on rêve de jouer en Coupe Davis. Aujourd’hui je fais partie d’un groupe qui va jouer la finale, je suis juste super heureux. »


Michael Llodra :
« C’est magique. Magique de vivre des moments comme ça. A la télé, j’avais déjà vécu ces moments hyper forts en 1991. Je m’étais dit que ce serait top de vivre de tels moments en vrai. C’est fabu­leux, j’ai du mal à réaliser. »

Guy Forget : « J’avais oublié à quel point ces moments pouvaient être beaux et émou­vants. Et ce n’est rien par rapport à ce qu’on va pouvoir vivre si vrai­ment on soulève la Coupe pour de vrai. C’est déjà magique. La finale, on y va pour la gagner, on va se donner les moyens de le faire. »

Gaël Monfils : « Comme je disais avant‐hier, on allait se battre pour toucher le rêve, main­te­nant on le touche, c’est fabu­leux. Avec tous les gars main­te­nant on va tout donner pour être fin prêts en décembre. 


Richard Gasquet :
« C’est tout simple­ment magni­fique. A chaque fois, ça fait 3–0, il n’y a même plus de suspense ! (Sourire) »


Arnaud Clément :
« C’est un senti­ment magni­fique. Je n’étais pas dans le groupe lors des deux premières rencontre, aujourd’hui j’y suis. Je suis très heureux qu’on ait pu gagner ce point. Voilà, l’équipe de France est en finale. Les gars sont venus pour nous supporter, j’es­père qu’ils seront en pleine forme pour la finale et qu’ils donne­ront des options supplé­men­taire à Guy. Les coéqui­piers qui viennent encou­rager leurs potes comme des dingues, c’est vrai­ment un plus pour l’équipe de France. »

Julien Benneteau : « Forcément ce sont des moments magni­fiques. C’est plus fort que le quart de finale, alors la finale, je ne peux même pas imaginer ce que ça peut être si on la gagne. Guy l’a connu, et appa­rem­ment aujourd’hui, ce n’est rien par rapport à ce qui nous attend. C’est avec grand plaisir et naturel que je suis venu soutenir les gars ce week‐end. Guy l’avait dit au début de l’aven­ture, ce n’est pas avec 4 joueurs qu’on peut gagner la Coupe Davis mais avec 6 ou 7. Il faudra tous qu’on joue bien d’ici la fin de l’année de manière à ce que Guy ait très mal à la tête ! »

Pauline Dahlem, à Gerland