Martin Laurendeau, capitaine de la l’équipe canadienne de Coupe Davis, a réagi dès hier à l’annonce de la réception de l’Espagne. La rencontre aura lieu en février à l’Université de Colombie‐Britannique pour le compte du premier tour de l’épreuve. Dans un entretien téléphonique accordé depuis Vancouver à l’Agence QMI, Laurendeau mesure l’avantage que représente le fait de recevoir. Ou plutôt de ne pas se rendre en Espagne. Les Canadiens bénéficiant ainsi du choix de la surface. Ils opteront probablement pour le même revêtement – ultra rapide – que lors de la réception de la France cette année. Un espoir de surprendre les Espagnols, rompus chez eux à la terre battue.
« Nous sommes très à l’aise et nous avons nos repères [à Vancouver]. Pour l’équipe, c’est une simplement bonne nouvelle d’évoluer au Canada puisque nous jouons à l’intérieur dans des conditions où nous sommes très à l’aise. Ça aurait été extrêmement difficile d’aller vaincre l’Espagne chez elle. Ce sera important pour nous que notre meilleur joueur soit dans de bonnes conditions. Le terrain sied à ravir à Milos – Raonic, 13ème mondial ndlr. Il y a tout de même remporté ses 11 derniers matchs. Nous devrons améliorer notre performance en double. Nous avons perdu nos deux derniers duels de double – contre la France et l’Afrique du Sud en barrage ndlr. Nous avons besoin d’une ambiance de septième match de la Coupe Stanley ou de celui pour la médaille d’or olympique. Et nous n’avons aucun doute que nous l’aurons à Vancouver.
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Publié le mardi 20 novembre 2012 à 16:47