Présent dans les allées du court Philippe‐Chatrier, Michaël Llodra revient sur la gestion de la programmation qui risque d’être chargée pour le futur vainqueur…
« Dans l’optique de la victoire finale, les meilleurs vont y laisser des plumes. Il ne reste plus que cinq jours de compétition avec quatre matchs à jouer en cinq manches. On est sur une terre battue lourde qui demande une grosse dépense énergétique. Les joueurs vont devoir être costauds. »
De votre envoyé spécial à Roland Garros
Publié le mercredi 1 juin 2016 à 11:03