Interrogé par nos confrères de Clay Magazine, l’ancien gaucher argentin, a été plutôt radical dans ses propos concernant la fameuse bataille des sexes.
« Prenons l’exemple de Jaume Munar, qui est un joueur solide. Si Munar ou un joueur similaire joue sans prendre de risques, il n’y a aucune chance. Et je dirais même qu’elle ne battrait pas un joueur du top 400 ou du top 500. Au final, il y a un énorme écart. Et cela n’enlève rien aux femmes ni à Sabalenka. C’est une excellente joueuse qui réalise des coups formidables, souvent plus puissants que ceux de nombreux hommes. Mais si l’on prend en compte tous les aspects du tennis, et pas seulement la puissance, la différence est énorme : je parle du physique, des jambes, de l’endurance, de la vitesse, de la régularité des coups »
Publié le dimanche 28 décembre 2025 à 09:50