Pauline Parmentier en finale à Bad Gastein, Marion Bartoli à Stanford, et enfin Gilles Simon à Indianapolis, le tennis français excelle dans le « ventre mou » du calendrier. Si c’est pas le nirvana, on peut quand même se féliciter de ces résultats, maintenant il reste à franchir la dernière marche et ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus facile comme nous l’a prouvé la semaine dernière Richard Gasquet.
Publié le dimanche 20 juillet 2008 à 09:36