Pour Roger Federer, la longue disette après l’Open d’Australie interrompue hier à Cincinnati s’explique avant tout par un manque d’agressivité : « Depuis des années, j’ai tout donné au tennis. Je sais qu’une telle implication vous offre un jour ou l’autre une chance de gagner à nouveau des grands tournois. Mais ces derniers temps j’étais parfois trop passif. Or il est important de mettre le plus possible l’adversaire sous pression ».
Publié le lundi 23 août 2010 à 17:47