Nous sommes en train de vivre ensemble la période la plus compliquée du virus, d’autant que les Etats‐Unis vont nous proposer des images sûrement plus insoutenables encore que celles déjà terribles venant d’Italie. Alors il vaut mieux peut‐être avoir l’attitude de Boris Becker plutôt que faire des prévisions pessimistes, d’autant que cela augmente logiquement notre peur.
Publié le mardi 31 mars 2020 à 19:31