Interrogé par nos confrères d’Ubitennis, le PDG de la marque française qui porte son nom et qui équipe notamment Carlos Alcaraz fête en 2025 les 150 ans de son entreprise créée par sa famille. Selon Eric Babolat, il faudrait penser à changer quelque chose pour que les émotions soient plus présentes.
« Un match de trois heures, c’est trop long. Il y a donc quelque chose à faire dans ce sport : trouver un moyen de susciter l’enthousiasme, y compris chez les joueurs eux‐mêmes, et pas seulement chez le public. Les fans classique pensent toujours à l’époque de McEnroe, mais les gens ont apprécié cette période parce que les joueurs ont montré de l’émotion. Cela fait partie du jeu, et je trouve agréable de le voir sous un autre angle, et pas seulement avec les champions qui jouent et gagnent. Sans émotion, les gens ne s’intéressent pas. »
Est‐ce que la longueur est un obstacle aux émotions comme l’explique Eric Babolat, vaste débat car quelques fois c’est bien la durée qui rajoute de l’émotion..
Publié le mercredi 7 mai 2025 à 09:45