Notre confrère Yannick Cochennec qui connaît bien l’histoire de Roland‐Garros puisqu’il a longtemps travaillé à Tennis Magazine a pointé du doigt le fait que le Court 1 était définitivement une histoire ancienne avec un cliché très symbolique.
Si sa destruction était nécessaire pour l’agrandissement du nouveau Roland‐Garros, ce court dessiné comme une arène par Jean Lovera était un symbole.
D’ailleurs Rafael Nadal le savait puisqu’il a récupéré la plaque où est inscrit son nom lorsqu’il a gagné le tournoi pour la première fois. Virginie Ruzici a également demandé à pouvoir récupérer un « bout » de cet édifice à jamais éternel.
Publié le mardi 2 juin 2020 à 09:42