Dans un papier intéressant, paru il y a une semaine, la journaliste suisse Isabelle Musy décrivait les conditions dans lesquelles les joueurs helvétiques de « second » plan devaient s’en sortir financièrement. C’est Marco Chiudinelli qui résumait le mieux la situation : « Si tu commences et termines l’année à la 60e place mondiale, tu gagnes environ 400 000 dollars brut dont il faut déduire environ un quart de taxes prélevées à la source. Ensuite, il faut encore déduire tous les frais (entraîneur, physio, voyages, etc.). A la fin, il ne reste pas grand‐chose. C’est peu par rapport au football Mais c’est beaucoup par rapport à quelqu’un qui travaille dans un bureau. Et ça, certains joueurs ont tendance à l’oublier. »
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Publié le dimanche 14 novembre 2010 à 11:26