Décidément, les maths ce n’est pas le fort des tennismen. Après Tsonga plus tôt dans la semaine, c’est Andy Murray qui avoue avoir tendance à s’emmêler les pinceaux. L’Ecossais, tombeur du Français hier, n’avait besoin que d’un set dans ce match pour se qualifier avec certitude. Tout le monde était au courant, sauf lui apparemment.
« Avant le match, il – Ivan Lendl, son entraîneur ndlr – m’a dit de me concentrer sur le gain du match et pas seulement d’un set. Avant qu’il me dise ça, je ne savais pas exactement ce que je devais faire pour me qualifier, mais là j’ai un peu mieux compris. Après le premier set, j’ai demandé à l’arbitre si j’étais qualifié et il m’a dit que oui. »
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Publié le samedi 10 novembre 2012 à 12:05