Avec des joueurs de ce talent dans sa Team Europe, Bjorn Borg n’a pas besoin de « forcer » son coaching. L’échange entre le Suédois et Andrey Rublev avant le super tie‐break contre Diego Schwartzman (4−6, 6–3, 11–9) est amusant.
« Thomas (Enqvist) ne le sait pas, mais avant le super‐break, j’ai dit à Bjorn : ‘Allez Bjorn, dis‐moi quelque chose’. Il s’est mis à rire et a dit : « Je n’ai pas besoin de te dire quoi que ce soit ». J’ai dit : « Dis‐moi, est‐ce que je vais gagner le super tie‐break ? Il m’a répondu : « Je n’ai pas besoin de te dire quoi que ce soit parce que je sais que tu vas gagner de toute façon ». J’ai dit : « Au moins, tu peux me dire bonne chance ». Borg a commencé à rire et m’a souhaité ça. C’était un moment très drôle », a raconté Rublev en conférence de presse.
Publié le samedi 25 septembre 2021 à 11:47