La toute nouvelle directrice du tournoi de Roland‐Garros vit un baptême du feu terrible avec le quart de finale qui se profile entre Novak Djokovic et Rafael Nadal.
Les choix ne sont pas multiples mais, si l’on veut bien y réfléchir de près, il y a quelques solutions possibles.
L’argument de la « gratuité » mis en avant par France TV peut être très vite balayé si le géant américain, comme le font quelques fois les opérateurs privés, décide d’ouvrir exceptionnellement le cadenas et de rendre l’accès gratuit pour ce match historique.
En revanche, le critère de la « sportivité » est plus complexe et surtout insolvable car il semble bien, et à juste raison qu’aucun champion, ne désire jouer en soirée. Ce qui est tout à fait logique tant les conditions sont différentes surtout sur terre battue.
Là où dans d’autres tournois la night session est une forme de feu d’artifice, un bouquet final qui peut se transformer en une hystérie collective comme c’est souvent le cas à New‐York, celle de Roland‐Garros est très vite devenue un mauvais plan où il faut surtout ne pas oublier sa couverture.
Publié le lundi 30 mai 2022 à 10:12