Nous avions dans cette rubrique, « le Blog de la Rédac » où nous pouvons nous exprimer assez librement expliqué que soutenir Novak Djokovic dans le monde des médias était au final un acte de bravoure. Nous n’avions pas été tout à fait compris, mais ce n’est pas cela le plus grave.
Ce jour dans l’Equipe, on a encore la preuve que nous avions finalement « raison ». Dans son billet « Humeur », notre consoeur Chrystelle Bonnet tente de nous expliquer pourquoi on aime un champion dans le sport.
Elle déroule donc quelques clichés et se paye le Serbe en cherchant à faire preuve d’humour et de créativité : « Nole, il pourrait joueur un pangolin qui n’éternue pas dans son coude que tu hésiterais à le soutenir » ou mieux et encore plus trash : « Que Djoko fasse des opérations prix citron en cassant une raquette ou des opérations séductions en abritant un ramasseur de balles, au pire, il t’agace, au mieux, tu t’en fous ».
Pourtant, malgré ces propos, la réalité n’est pas celle décrite par notre collègue qui paraphrase presque un certain Nick Kyrgios.
Même les plus anti‐Djokvovic, et on en connait, ont reconnu que si on parle que de tennis, le Serbe n’est pas loin de devenir le plus fort, le plus performant, le plus impressionnant, qu’aimer le tennis, à un moment, c’est aussi aimer Novak Djokovic qu’on le veuille ou non…
Publié le mercredi 3 mars 2021 à 10:45