AccueilLe blog de la rédac'J'aime, j'aime pas… Un vent de fraîcheur sur le tennis féminin !

J’aime, j’aime pas… Un vent de fraî­cheur sur le tennis féminin !

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L’inévitable « J’aime/J’aime pas » de la Rédaction, pour faire le point, en toute fran­chise, sur ce qu’il s’est passé du côté de Roland Garros. Un article du Blog de la Rédac.

J’aime

Le vent de fraî­cheur qui souffle actuel­le­ment sur le circuit féminin. Car pour la première fois depuis belle lurette, le dernier carré d’un Grand Chelem est constitué de 3 joueuses novices – ou presque – à ce stade de la compé­ti­tion : Andrea Petkovic, Simona Halep et Eugenie Bouchard. Ainsi, seule Maria Sharapova, repré­sen­tera les « anciennes » du circuit cet après‐midi sur le Court Philippe Chatrier. Une surprise ? Finalement pas tant que cela. « Il y a beau­coup de jeunes joueuses qui arrivent et qui vont arriver parce qu’elles ont de l’am­bi­tion, du talent et qu’elles travaillent dur » nous confiait Caroline Garcia, le mois dernier. « Je pense donc que le tennis féminin va « se rénover ». Il y en a plein qui vont arriver et quelques unes qui vont partir, peut‐être pous­sées vers la sortie par les petites jeunes. Si ça ne serait pas plus mal ? Disons que ça chan­ge­rait un peu. » Du chan­ge­ment, voilà peut‐être juste­ment ce qui pour­rait relancer l’in­térêt pour le tennis féminin. Simona Halep, Eugenie Bouchard et Andrea Petkovic ont chacune leurs parti­cu­la­rités, leurs forces et faiblesses, mais un point commun : aucune d’entre elles ne hurle sur ses frappes façon Sharapova, Serena ou Azarenka. Les miss Halep et Bouchard sont même tota­le­ment silen­cieuses ! Reposant… Et appréciable !

J’aime pas…

… L’ambiance de fin de tournoi. Eh oui Mesdames et Messieurs, l’édi­tion 2014 de Roland Garros touche douce­ment à sa fin. L’effervescence de la première semaine a laissé place à l’am­biance plus feutrée de la seconde. Les allées se sont majo­ri­tai­re­ment vidées, les files d’at­tentes devant les stands et entrées de courts annexes ont disparu… Bref, l’at­mo­sphère a d’ores et déjà changé. Et s’il reste encore de grands moments à vivre, avec un final qu’on espère spec­ta­cu­laire tant dans le tableau masculin que féminin, une forme de nostalgie se fait déjà sentir dans les allées du stade. Car il faudra attendre encore un an pour revivre ces instants si plai­sants de grande fête du tennis que nous offrent chaque dernière semaine de mai les huit premiers jours du tournoi.