AccueilLe blog de la rédac'Shapovalov, Auger-Aliassime, le syndrome canadien existe vraiment

Shapovalov, Auger‐Aliassime, le syndrome cana­dien existe vraiment

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Denis comme Félix ont un talent incroyable et dans une certaine mesure leur parcours est pour l’ins­tant assez iden­tique même si Félix peut s’enor­gueillir de faire partie du top 10. 

Pour le reste, on est dans la même situa­tion avec deux joueurs au bras de fou mais qui patinent souvent par faute de préci­sion tactique. 

Denis se veut flam­boyant mais ne peut main­tenir son niveau très haut long­temps, et Félix s’embourbe souvent dans un plan boum boum qui est très vite indigeste. 

A vouloir passer en force en accu­mu­lant les frappes, Félix se fatigue et Denis lui tente souvent l’impossible. 

Au final, le duo à la feuille d’érable nous agace car les deux devraient constam­ment jouer les premiers rôles et nous faire nous lever de notre canapé. 

Au lieu de cela, on reste sur notre faim et on espère surtout qu’un jour, ils trou­ve­ront la clé pour que leur jeu soit plus cohé­rent, plus installé et donc plus efficace.