Même si à travers le prisme du tube cathodique, on ne prend pas trop la dimension d’un évènement, il reste que le bruit si particulier d’une frappe à Wimbledon nous transporte dans un autre univers, feutré, limpide, sec, propre à un tennis synonyme de talent, de jeu à la main, de frappe sèche, de coup d’œil, rien à avoir avec la lourdeur d’un coup droit sur le central Philippe Chatrier.
Publié le mardi 24 juin 2008 à 21:47