Vainqueur d’Igor Andreev, 6–1, 7–6, au deuxième tour du Masters 1000 de Montréal, Andy Roddick s’est contenté de cette victoire, conscient qu’il a encore des ajustements à faire, arrivant de sa finale de Washington. « Je me sens plutôt pas mal. C’est toujours délicat d’aller d’un tournoi à l’autre, de prendre l’habitude des courts, des conditions de jeu et du matériel. Ce n’était pas parfait aujourd’hui, mais j’ai obtenu le plus important, la victoire. »
Son prochain match, qui pourrait l’emmener en quarts de finale, se disputera contre Fernando Verdasco. Un adversaire dont le numéro 5 mondial se méfie. « Il joue évidemment du grand tennis aujourd’hui. Il est bien plus constant, plus solide. Il a gagné ses premiers matchs relativement facilement » a rappelé Roddick. L’Espagnol n’a en effet perdu que onze jeux en deux matchs, dont deux hier contre Leonardo Mayer, battu 6–1, 6–1. Le lauréat 2003 de la Rogers Cup reste donc prudent avant d’affronter Verdasco. « Nous verrons ce que ça donnera », a‑t‐il simplement conclu.
Publié le jeudi 13 août 2009 à 12:29