Frédéric Bernes signe un article très intéressant ce jour dans le quotidien l’Equipe. On apprend comment et pourquoi Fernando Verdasco est en plein bourre. Extraits.
Sur Gil Reyes, l’ex entraineur d’André Agassi
J’ai commencé à bosser avec Gil en décembre, il a changé ma personnalité.
Sur son père qui est maintenant son coach
Pendant la Coupe Davis, mon fils est devenu un homme. Fernando était parmi les plus petits en taille. Il a eu une croissance tardive à tous les niveaux. Moi, je ne connais rien au tennis, Fernando m’a demandé de l’aider donc je suis là. On a ecrit ici ou là que Fernando était un enfant hyperactif. C’est faux, il avait juste du mal à se concentrer. Ce qui est vrai en revanche c’est que mon fils a toujours été très sensible.
On apprend aussi dans ce papier en forme de portrait que lorsque Fernando ne parvenait pas l’an dernier à passer un cap, qu’il faisait un blocage, qu’il a pu consulter le « psy » du Real de Madrid. « Il m’a fait un bien fou, il m’a dit que je n’étais pas malade, que je devais être ce que je suis »
Publié le lundi 16 mars 2009 à 12:23