Après avoir été élu par les médias « plus grande déception de l’année 2009 », Ernests Gulbis revit en 2010. Tombeur de Roger Federer au premier tour, à Rome, il a confirmé en accrochant Nadal en demi‐finale. L’Espagnol ne tarit pas d’éloges sur le jeune Letton : « Il a été particulièrement difficile à jouer. Un joueur doté d’un tel service peut aisément intégrer le top 10 ». Il semblerait que Gulbis ait muri, laissant de côté son goût pour la fête pour exploiter tout son potentiel tennistique. Une nouvelle qui doit ravir ses fans, mais beaucoup moins ses adversaires !
Publié le mardi 4 mai 2010 à 11:43