Battu 6–3, 6–1 par l’Allemand Beck, dépité mais pas énervé, Gilles Simon comme à son habitude a pris le temps d’analyser son naufrage avec une vraie lucidité : « C’est un vrai match de merde, et j’en suis le premier étonné. Même s’il faut s’adapter, ce n’est pas un excuse, j’ai été mauvais, j’ai commis des fautes directes à gogo, sur mon service, je faisais des écarts incroyables, tout cela est assez inexpliquable. Je n’avais pas de timing, même si je ne suis pas inquiet cela ne me fait pas peur, j’étais vraiment perdu sur le terrain sans solution. J’ai dix jours pour trouver l’explication, 10 jours pour me soigner aussi car sur certains échanges longs j’ai du mal à respirer »
En direct de Monte‐Carlo
Publié le mardi 14 avril 2009 à 14:19