Après l’évocation de la mort par Franck Dancevic, c’est au tour de Ivan Dodig, lui aussi très mal en point et contraint d’abandonner son match, qui s’est épanché sur le caractère inhumain des conditions de jeu.
“Aujourd’hui, 30 minutes après le match je ne pouvais plus marcher. Il y avait 10 personnes autour de moi. J’ai pensé que je pouvais mourir ici. Je pense qu’on mérite d’être entendus. On pourrait faire un break pour quelques heures ; disons entre 13h et 16h. Nous avons de l’éclairage, les télévisions peuvent s’adapter un peu et c’est mieux pour nous si nous jouons tous en session de nuit. »
Publié le mercredi 15 janvier 2014 à 11:00