Troisième finale en Grand Chelem et troisième défaite pour Andy Murray. Pire, trois finales, et pas un set à se mettre sous la dent. Sans parler de syndrome, on peut se poser des questions sur l’approche que met en place l’Ecossais avant ce type de rendez‐vous. La presse britannique ne va pas le rater, Andy ferait mieux de ne pas la lire !
Publié le dimanche 30 janvier 2011 à 12:31