AccueilOpen d'AustralieKokinakkis-Kyrgios, un vrai camouflet pour la "famille" du double

Kokinakkis‐Kyrgios, un vrai camou­flet pour la « famille » du double

-

Souvent les direc­teurs de tournoi se plaignent des moyens obli­ga­toires mis en place pour le double. Ce ne sera sûre­ment pas le cas de Craig Tiley qui se frotte les mains depuis que ses deux compa­triotes ont créé un vrai évène­ment en se quali­fiant pour la finale.

Le double K a démontré en quinze jours ce que repré­sente cette épreuve norma­le­ment réservée aux spécia­listes. A tel point que leur perfor­mance n’a pas vrai­ment plus aux ténors de cette famille qui se réserve un prize money dans un vrai anonymat.

Nous n’avons pas beau­coup parlé de l’al­ter­ca­tion dans les vestiaires entre le double austra­lien et les rois de la disci­pline les Croates Mektic et Pavic, mais elle traduit bien le climat qu’il peut régner si des joueurs de « talent » viennent bous­culer un ordre établi où des « seconds couteaux » se « payent » une carrière « pro ».

En gros, les Croates, sans le dire, ont voulu signi­fier : « Ceci est notre tournoi, notre gagne pain, ne venez pas nous piquer notre gamelle »