Dans les colonnes de L’Équipe ce jeudi, on découvre que le joueur américain Tennys Sandgren (quart de finaliste à Melbourne en 2018) ne manque pas de confiance en lui ni d’un certain charisme comme le confirme ses dernières déclarations : « Les tournois du Grand Chelem représentent les rares semaines de l’année où j’ai l’impression que ça a un sens de jouer au tennis. Parfois, tu te perds quand tu voyages en permanence et que tu joues trente, trente cinq semaines dans l’année. Cela m’arrive d’être paumé. »
Cette belle confession énoncée, Tennys enchaîne : « Quand j’étais 300e ou 200e, je me demandais si j’avais vraiment un avenir en tant que joueur de tennis. Maintenant, je sais que quand je joue bien, je peux battre n’importe qui. » Un peu comme hier face à l’Italien Matteo Berrettini, huitième mondial.
Publié le jeudi 23 janvier 2020 à 08:52