La 93e mondiale a été sèchement battue par l’Espagnole Medina‐Garrigues 6–1, 6–4 : « A des moments, je me faisais moi‐même pitié ! Je regardais mon entraîneur mais je savais qu’il ne pouvais rien faire… Le plus dur, c’est que même quand je pensais faire un truc simple, j’arrivais à mettre la balle deux mètres dehors ! » Julie Coin se plaint elle aussi des conditions de jeu : « Avec le vent, c’était vraiment pas évident, qui plus est si on n’est pas en jambes… »
Publié le jeudi 22 janvier 2009 à 07:35