Serena Williams peut être comblée. Victorieuse de son premier match à l’Open d’Australie avec la manière face à l’Allemande Laura Siegemund (n°49), 6–1, 6–1, l’ancienne reine du tennis s’est réjouie de la présence du public dans les travées de la Rod Laver Arena, une « très bonne chose » comparé à un « New‐York sans foule » (la dernière édition de l’US Open s’était jouée sans public).
Mais quelques heures après le Super Bowl, le summum de l’évènement médiatique à l’américaine, la championne a été interrogée sur l’importance de sa petite fille de 3 ans dans la suite de sa carrière, et la nécessité de l’avoir toujours près d’elle, en opposition à un certain… Tom Brady, légende du football américain.
"Je ne pourrais pas fonctionner sans ma fille. Je pense que je serais en dépression. Nous avons été ensemble tous les jours de sa vie, alors... Est-ce sain? Pas du tout (rires). Pas même proche. Mais chaque jour, je veux juste être avec elle. Bien sûr, j'ai pu voir que c'était définitivement une distraction, surtout après ces dernières années, mais je commence enfin à m'améliorer. Les deux premières années et demie (de mère) ont été très difficiles."
Publié le lundi 8 février 2021 à 09:55