Si la plupart des joueurs ont vécu la quarantaine comme une contrainte, Serena Williams, elle, s’est sentie privilégiée. Blessée au tendon d’Achille il y a encore quelques semaines, la championne américaine n’aurait pas pu participer au premier Grand Chelem de l’année si celui s’était déroulé aux dates habituelles.
« C’était génial pour moi parce que j’avais juste besoin de ce temps. Je ne pouvais pas m’entraîner à cause de mon tendon d’Achille. Et je ne pense pas que j’aurais pu venir ici si le tournoi avait commencé comme toutes les autres années. Donc c’était un peu comme une bénédiction je dirais, mais très nécessaire pour moi. J’ai pu prendre ce temps pour récupérer et arriver au meilleur niveau possible », a déclaré celle qui a remporté son premier match face à Daria Gavrilova (6–1, 6–4) lors du deuxième tour du Yarra Valley Classic
Publié le mardi 2 février 2021 à 13:39