Le quotidien australien The Age est allé interroger un médecin spécialiste pour connaître les conséquences médicales en cas de pratique dans les conditions actuelles de qualité d’air de Melbourne : « Certains ressentiront les effets plus que d’autres au niveau de la perception ou du cerveau. On dit souvent que c’est l’athlète qui peut supporter le plus d’essoufflement ou le plus douleur musculaire qui donne les meilleurs résultats. Il se peut aussi que certains athlètes peuvent ne pas savoir qu’ils souffrent d’asthme induit par l’exercice. Bien que tous les joueurs de tennis soient super en forme, il est possible que certains d’entre eux aient des voies respiratoires réactives liées au fait qu’ils font beaucoup d’exercice et qu’ils le sachent ou non »
Publié le mardi 7 janvier 2020 à 11:11