Face à Eric Prodon, Andy Murray n’a pas eu à s’employer outre mesure :
« C’était un match dur. Comme physiquement il n’était pas très bien il essayait d’écourter les rallyes, les échanges, il fallait que je sois vigilant.
Au prochain tour, Bolelli, je l’ai joué à Madrid il y a quelques années, c’était dur. Même si ça va un peu moins bien pour lui ces derniers temps, il est talentueux, il faut que je me méfie.
Les balles, ça ne m’affecte pas vraiment. C’est bien sûr plus rapide mais on s’y habitue, c’est pareil pour tout le monde.
De votre envoyée spéciale à Roland Garros ».
Publié le mardi 24 mai 2011 à 14:48