Le Kazakh a un rapport avec le tennis qui lui appartient. Il a souvent expliqué que son « amour » pour le tennis était lié aux revenus qu’il pouvait lui apporter. En conférence de presse, il a donc été forcément interrogé sur son rapport avec ce sport pour qui il ne ferait pas n’importe quoi. Extraits.
Tu as parlé du fait que tu ne voulais pas être comme les autres joueurs et te pousser plus loin que tes limites. Est‐ce que cela a été différent aujourd’hui ? Est‐ce qu’à l’avenir, le match d’aujourd’hui pourrait te donner envie d’aller plus loin ?
« Ce qui est intéressant dans votre question, c’est de savoir s’il est possible que je le fasse. Est‐ce que j’ai envie de mettre ma vie, ma santé, en jeu pour cela ? La réponse est non. Est‐ce que je vais continuer à travailler ? Je vous rassure, je m’entraîne. Je fais à la fois le minimum et le maximum pour être le joueur que je suis, pour être dans la position dans laquelle je me trouve. Je continuerai sur le même chemin parce que je pense que je donne la priorité au tennis, mais aussi à ma vie. C’est un rapport à 50 % entre les deux. Ce n’est pas tennis à 90 %. Si je peux donner une part à ma vie, cela va ? Non. Ce n’est pas comme cela. Il faut trouver un équilibre. Il s’agit de faire ce qu’il faut pour être en compétition contre le haut du classement, ce que j’ai montré au cours des 6 ou 7 dernières saisons. Est‐ce que je mettrais ma santé en jeu pour cela ? Non »
Publié le mardi 3 juin 2025 à 09:22