Aryna Sabalenka n’est pas la seule à avoir lutté contre les conditions particulièrement venteuses ce samedi, en finale de Roland‐Garros. Coco Gauff a également eu beaucoup de mal à s’adapter mais l’Américaine n’a pas bronché, n’a rien donné à son adversaire et s’est finalement imposée.
Consciente de ne pas avoir livré le meilleur match de sa carrière, la désormais double lauréate en Grand Chelem s’en moque car en fin de compte, comme le dit le célèbre adage : une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne.
« C’était hyper dur. Quand je suis entrée sur le court, j’ai senti le vent alors que je m’étais échauffée sous le toit, donc je me suis dit que ça allait être une journée compliquée. Je savais que ça se jouerait au niveau du mental. Ça s’est joué à quelques points, mais je suis vraiment contente de m’être autant accrochée. Ce n’était pas joli, mais j’ai fait le boulot, c’est tout ce qui compte. Les conditions étaient vraiment difficiles, surtout du fond du court. D’un côté du court, c’était très dur de faire avancer la balle, de l’autre c’était très compliqué de la contrôler. Ça ressemblait à ce que j’ai vécu au premier tour, donc je savais à quoi m’attendre. Je ne savais pas si le toit serait ouvert ou fermé jusqu’à 30 ou 40 minutes avant la finale. Après avoir joué mes deux derniers matches sous le toit, c’était une expérience très différente. »
Publié le dimanche 8 juin 2025 à 14:44