Qualifié pour la première fois de sa carrière en quarts de finale d’un tournoi du Grand Chelem, Alexander Bublik, qui sera opposé au numéro 1 mondial, Jannik Sinner, pour une place dans le dernier carré de Roland‐Garros ce mercredi après‐midi, est un joueur à part du circuit professionnel.
Imprévisible et fantasque, le Kazakh aime se définir comme un type normal comparé aux « robots du circuit ». À ce propos, son manager depuis 10 ans, Corrado Tschabuschnig, a eu une sortie plutôt étonnante et un poil déconnecté de la réalité chez nos confrères de L’Équipe.
« Il donne de l’espoir aux gens normaux, à ceux qui ont du mal à se lever à 6 heures du matin, à ceux qui peinent à rester devant leur ordinateur au bureau toute la journée et à ceux qui culpabilisent de faire la fête et de se lever tard le lendemain. »
Publié le mercredi 4 juin 2025 à 14:31