Avec Varvara Gracheva, 68e joueuse mondiale, en seule représentante tricolore dans le top 100, le tennis français connaît une situation critique. Certains évoquent un creux générationnel pour expliquer les maux du tennis féminin.
Dans des propos recueillis par Ouest‐France, Fabrice Santoro refuse d’adhérer à cette opinion. Le consultant de Prime Vidéo ne veut pas croire que l’hexagone n’a pas un vivier de joueuses prometteuses. Pour l’ancien 17e joueur mondial, il s’agit plus d’un problème de formation qu’un problème de talent.
« C’est assez incompréhensible… C’est une période regrettable. Il y a une expression que je ne tolère pas et ne valide pas, c’est le trou générationnel. Dans un pays où il y a 68 millions d’habitants et des centaines de milliers de jeunes filles qui jouent, rêvent pour certaines d’être championnes et de gagner un Grand Chelem, avec des courts et des écoles de tennis dans toutes les régions, c’est plutôt un trou dans la formation ».
Publié le dimanche 25 mai 2025 à 13:41