Avant le début des choses sérieuses lors de cet été américain, quelques joueurs se sont exprimés sur leur retour aux Etats‐Unis. A la maison, Andy Roddick fait le show, et cette année encore il jouera avec son public. « Ce que j’aime, c’est réussir des choses auxquelles les gens ne s’attendent pas. On sent la folie monter. Et là, tout le monde prend son pied. »
Quintuple vainqueur à l’US Open, Federer revient sur les origines de ses surnoms, quand les supporters américains ne manquent pas d’imagination. « Tout a commencé ici, avec The Fed Express, ou Darth Federer quand j’étais habillé en noir. Ils aiment donner des diminutifs. C’est vraiment agréable de revenir. »
A la même époque il y a un an, sur sa lancée de Wimbledon, Andy Murray avait musclé son jeu, et montré qu’il pouvait « battre n’importe qui. » Sa signature victorieuse, biceps saillants, a été appréciée des Américains et l’Ecossais compte bien le réitérer cette année.
Le compte à rebours a commencé
Publié le samedi 25 juillet 2009 à 10:00