Largement perturbée par la pluie, la fin de l’US Open aura été celle des hommes forts. Des péripéties qui ont favorisé les hommes selon Mats Wilander, qui s’est exprimé dans le quotidien suisse Le Temps. « Nous ne sommes jamais égaux devant la pluie. Néanmoins, ces contrariétés affectent davantage la « classe moyenne », rivée sur des objectifs précis et maîtrisables. Les favoris, eux, ont un horizon plus large. Ils ne s’arrêtent pas à ce genre de péripéties. »
Publié le lundi 14 septembre 2009 à 10:53