AccueilUS OpenNadal, une polyvalence très rarement atteinte

Nadal, une poly­va­lence très rare­ment atteinte

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Qualifié pour la finale à l’US Open à l’issue de sa victoire en trois manches contre Matteo Berrettini (7–6(6), 6–4, 6–1), Rafael Nadal renoue avec des sommets de poly­va­lence qu’il n’avait plus atteints depuis 2008. Au minimum demi‐finaliste des quatre tour­nois du Grand Chelem cette saison, il retrouve une régu­la­rité affi­chée en 2008. Cette année l’avait vu atteindre les demies de l’Open d’Australie et de l’US Open et soulever le trophée à Roland Garros et au All England Club. Cette saison, il a joué la finale à Melbourne et New‐York (où il pourra soulever la coupe ce dimanche), s’im­po­sant égale­ment à Paris avant de chuter aux portes de la dernière marche à Wimbledon.

Autre statis­tique signi­fi­ca­tive, le Majorquin est le deuxième joueur de l’ère Open, après Roger Federer, à avoir disputé au moins cinq finales dans les quatre tour­nois majeurs. Il en compte cinq en Australie, à Wimbledon et à New‐York et douze Porte d’Auteuil.