Chaque tournoi du Grand Chelem essaye de faire « parler de lui » en mettant en avant des innovations en terme d’organisation. Roland‐Garros a inauguré ses sessions de nuit et utilisé le pass sanitaire quand Wimbledon a abandonné son Middle Sunday.
Cette année, l’US Open parade avec une jauge au maximum, un prize money record et la mise en place d’un service dit de « santé mentale », concept à la mode depuis que Naomi Osaka a décidé de se mettre sur le créneau.
Des professionnels de la santé seront donc mis à disposition des joueurs en libre service, des salles dit de « calme » seront aussi disponibles.
Comme l’a expliqué l’un des responsables de ce nouveau service à L’Equipe, le but est vraiment de venir en aide dans une totale discrétion : « Notre but est de rendre les services dédiés à la santé mentale aussi accessibles pour les athlètes qu’un soin pour une entorse à la cheville. Et cela, sans que ce soit stigmatisé », a expliqué le Docteur Brian Hainline, professeur de neurologie et premier vice‐président de la Fédération américaine.
Publié le jeudi 26 août 2021 à 09:44