
Arrivé dans la Big Apple sans la moindre victoire au compteur depuis Wimbledon, Jo‐Wilfried Tsonga a réussi un match sérieux pour se débarrasser de Marius Copil (6−3, 6–3, 6–4). Le Manceau espère monter en gamme au cours de la quinzaine. Il le faudra car Denis Shapovalov l’attend au deuxième tour…
Sur sa victoire face à Marius Copil…
« Gagner fait toujours du bien. Pour moi, c’est important d’enchaîner, je suis toujours meilleur quand j’ai des matchs dans les jambes. J’espère que ça va aller crescendo dans ce tournoi, que je vais jouer de mieux en mieux. J’ai un deuxième tour qui s’annonce difficile. »
Sur le fait d’avoir un esprit de revanche après Roland Garros et Wimbledon…
« Il n’y a aucun esprit de revanche, mais que des choses positives à aller chercher. C’est le dernier Grand Chelem de l’année, je suis dans une saison où finalement j’ai eu des hauts « très hauts » et des bas « très bas » (sourire). Cela ne me dérange pas d’en avoir si je fais des belles choses, ce que j’espère sur les prochaines semaines. »
Sur Denis Shapovalov, son prochain adversaire…
« C’est sympa de jouer la nouvelle génération. J’ai joué beaucoup de joueurs des générations précédentes, c’est bien d’avoir un renouvellement. J’ai vu que Shapovalov avait très bien joué à Montréal devant son public. Il est extrêmement tonique, très ambitieux en allant vers l’avant et en prenant le jeu à son compte. Il a 18 ans, donc la folie de la jeunesse (sourire). Il est assez imprévisible. »
De votre envoyé spécial à New York
Publié le mardi 29 août 2017 à 01:28