Dans le cadre du dossier de notre numéro 75 de We Love Tennis Magazine, nous avons posé deux questions clés à quatre grands coachs.
La première question était : C’est quoi le plaisir de coacher, entrainer, enseigner ?
La deuxième était liée au confinement : Et le confinement dans tout ça ?
Aujourd’hui nous commençons par Gilles Cervara, le coach de Daniil Medvedev suivront Frédéric Fontang, Sam Sumyk, et Jean‐René Lisnard.
C’est quoi le plaisir de coaches, entraîner, enseigner ?
J’aime apprendre et faire apprendre. Faire progresser : je suis quelqu’un qui pense toujours qu’une évolution est possible. Cette idée, c’est mon moteur, ma passion, mon essence, ma flamme. J’essaie d’ailleurs toujours de me remettre en question. Pendant le confinement, j’ai pu ou su bien baliser le temps pour que notre travail soit efficace et axé sur de vrais objectifs liés à une potentielle reprise de la compétition.
Sur le confinement ?
Avec Daniil, nous nous sommes retrouvés dans des conditions très agréables avec une grande maison et un court de tennis. Ce confinement n’a donc pas été très contraignant et nous avons bien bossé. Je dois juste avouer que sur la fin, j’avais quand même hâte de changer de cadre, car cela devenait presque oppressant.
Publié le vendredi 17 juillet 2020 à 11:23