Au micro de la BBC, Boris Becker analyse la victoire de Jo‐Wilfried Tsonga sur Roger Federer. Pour l’ex‐numéro 1 mondial, le Suisse est responsable de sa défaite dans la mesure où il s’est montré trop attentiste.
« Accordons à Tsonga le crédit de n’avoir pas spéculé, ni attendu l’erreur. Il a pris les devants avec une audace extraordinaire. Mais reconnaissons à Federer le tort considérable, deux heures durant, de n’avoir rien changé, pas même apporté quelques variations, pour laisser Tsonga s’installer dans son rythme et délivrer sa puissance. »
Publié le jeudi 30 juin 2011 à 13:39