Avant la finale de Wimbledon, Nick Kyrgios avait battu deux fois Novak Djokovic en 2017, en deux sets gagnants. Il a compris que défier une légende du jeu en Grand Chelem, surtout en finale, n’avait rien à voir lorsqu’il a mené un set à zéro.
« Contre ces mecs, Djokovic, Nadal ou Federer, en trois sets gagnants, même quand tu gagnes le premier set, tu as l’impression d’avoir encore l’Everest à gravir pour t’imposer. Le meilleur des trois sets est un peu plus facile. Je pense que si j’avais joué un peu mieux dans le tie‐break, j’aurais eu une chance de prendre le set et de prolonger le match un peu plus longtemps. J’ai commencé à me sentir mieux physiquement alors que le match se terminait. C’était très étrange », a constaté l’Australien.
Publié le mardi 12 juillet 2022 à 09:21